Salut
Voici toutes les vidéos de chansons de ma série un son par semaine que j’ai réalisé pendant le 1er confinement entre le 26 mars et le 27 juin 2020.
Voici ces clips dans leur ordre de sortie :
Tu peux retrouver aussi ces chansons sur les plateformes en Là
“Oiseaux”, c’est le deuxième volet de ma trilogie de trap animalière, qui est une sorte de série dans ma série “Un Son par Semaine”. https://www.youtube.com/playlist?list=PLMrEBoBAoToZRl_yZGnzYqdXCa-EDj3eZ
La première vidéo était “Cheval Poney” https://youtu.be/8jpD7BdHqVI et la troisième sera, “Poissons”.
Tu connais, toi, la trap animalière ? Non ! Et bien c’est normal, c’est nouveau, ça vient de sortir ! Comme disait Coluche.
Quoique, y avait quand même VALD avec “Poisson”… https://youtu.be/k_YNwAZkoFc (mais c’est plutôt un intermède qu’un vrai morceau) et il y a sans doute plein de sons que je connais pas, le monde est vaste…
Au départ, en faisant “OISEAUX” je pensais faire un son plutôt marrant mais au fur et à mesure de l’élaboration du morceau, il a pris une coloration “planante” (normal) et un peu mystique je dirais même.
Cette musique n’est pas de la pure trap bien sûr, mais elle s’en rapproche en en utilisant les sons (drum notamment) et certains codes de la musique trap.
J’ai utilisé un rythme ternaire (12/8) avec pas mal de polyrythmie (par exemple la guitare est en groupe de 4). J’ai choisi de mettre très peu de paroles pour laisser beaucoup de place à la musique, notamment pour un solo de saxophone soprano dont le son me paraissait bien convenir à l’atmosphère planante et perchée (normal aussi). Voilà, voilà, tu sais tout, t’as plus qu’à écouter “Oiseaux”.
Dans ce nouveau projet, Yo, c’est à dire moi-même, votre serviteur, fait tout tout seul, comme un grand:
Textes, instrus, prise de son, mixage, mastering, tournage, réalisation vidéo, montage, chorégraphies… et tout ça chez moi, comme un bon vieux confiné ! Et finalement, ça tombe bien vu qu’on peut plus sortir !
Chaque jeudi donc, je poste un nouveau son, des chansons, des raps, des instrumentales, peut-être quelques anciennes chansons revisitées aussi.
PS : Abonne-toi, si tu le souhaites, à ma chaîne Youtube pour ne rien rater de cette aventure exaltante :
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Salut
Yo
Dans ce septième épisode de “Un Son par semaine”, et pour la première fois de mon humble vie, je me suis lancé dans l’enregistrement d’une reprise. Bien entendu, j’ai choisi Georges Brassens, qui est mon auteur-compositeur-interprète fétiche, et celui que j’ai le plus étudié (j’en ai étudié qu’un de toute façon 😉).
J’ai repris sa chanson “L’ORAGE” dans un style “reggae”, qui se greffe bien à la rythmique “temps-contretemps” originelle. J’ai aussi un peu “jazzifié” la grille harmonique et ajouté un petit solo de sax alto, avant la dernière strophe.
Cette chanson, ” L’orage”, est caractéristique de l’art de Brassens : des rimes finement ciselées, élégantes, au service d’une histoire poétique et intemporelle, une mélodie efficace, complexe et inoubliable à la fois.
Dans ce texte, écrit en sizains – comme beaucoup d’autres chansons de Brassens – l’ami Georges nous parle aussi de son choix de vie sentimentale libre et de sa prédilection pour les liaisons extraconjugales. Ce thème croustillant revient dans de nombreuses chansons de Brassens telles que : “Ne jetez pas la pierre à la femme adultère” (je suis derrière 😀) par exemple.
Un grand merci à Romain Amardeil, pour la guitare
Je vous mets ci-dessous le texte de la chanson, afin de juger par vous-même, entre autres choses, du degré d’exigence de Brassens en ce qui concerne le choix des rimes.
L’ORAGE (1960)
Parlez-moi de la pluie et non pas du beau temps
Le beau temps me dégoûte et m’fait grincer les dents
Le bel azur me met en rage
Car le plus grand amour qui m’fut donné sur terre
Je l’dois au mauvais temps, je l’dois à Jupiter
Il me tomba d’un ciel d’orage
Par un soir de novembre, à cheval sur les toits
Un vrai tonnerre de Brest, avec des cris d’putois
Allumait ses feux d’artifice
Bondissant de sa couche en costume de nuit
Ma voisine affolée vint cogner à mon huis
En réclamant mes bons offices
“Je suis seule et j’ai peur, ouvrez-moi, par pitié
Mon époux vient d’partir faire son dur métier
Pauvre malheureux mercenaire
Contraint d’coucher dehors quand il fait mauvais temps
Pour la bonne raison qu’il est représentant
D’une maison de paratonnerres”
En bénissant le nom de Benjamin Franklin
Je l’ai mise en lieu sûr entre mes bras câlins
Et puis l’amour a fait le reste
Toi qui sèmes des paratonnerres à foison
Que n’en as-tu planté sur ta propre maison
Erreur, on ne peut plus funeste
Quand Jupiter alla se faire entendre ailleurs
La belle, ayant enfin conjuré sa frayeur
Et recouvré tout son courage
Rentra dans ses foyers faire sécher son mari
En m’donnant rendez-vous les jours d’intempérie
Rendez-vous au prochain orage
À partir de ce jour j’n’ai plus baissé les yeux
J’ai consacré mon temps à contempler les cieux
À regarder passer les nues
À guetter les stratus, à lorgner les nimbus
À faire les yeux doux aux moindres cumulus
Mais elle n’est pas revenue
Son bonhomme de mari avait tant fait d’affaires
Tant vendu ce soir-là de petits bouts de fer
Qu’il était devenu millionnaire
Et l’avait emmenée vers des cieux toujours bleus
Des pays imbéciles où jamais il ne pleut
Où l’on ne sait rien du tonnerre
Dieu fasse que ma complainte aille, tambour battant
Lui parler de la pluie, lui parler du gros temps
Auxquels on a tenu tête ensemble
Lui conter qu’un certain coup de foudre assassin
Dans le mille de mon cœur a laissé le dessin
D’une petite fleur qui lui ressemble
Cette chanson, superbe s’il en est, est le septième épisode de ma série youtube UN SON PAR SEMAINE. C‘est aussi ma première vidéo virale, alors dépêche-toi de la partager veux-tu !
On t’en as dit, tu en as vu, des choses sur le coronavirus !
Mais en vérité, on te dit rien, on te cache tout ! Et ce qu’on s’est bien gardé de te raconter en haut-lieu – et le scoop que je t’apporte ici est tout à fait troublant – c’est que le célébrissime Covid chante ! (magnifiquement en plus)
Étonnant, non ? Comme disait P. Desproges.
Je vois, tu es sceptique, dubitatif, incrédule, perplexe et tu n’aimes pas les pléonasmes ? Alors clique là-dessous et tu auras l’incontestable preuve visuelle et auditive de ce que j’avance :
Alors, t’as cliqué ? t’as vu ? Tu me crois maintenant ? …. C’est fou non ?!
Ça calme hein ! Moi, ça m’en bouche un coin, comme on dit, et pas le moindre qui plus est!
Cette chanson, superbe s’il en est, est le sixième épisode de ma série youtube UN SON PAR SEMAINE. C‘est aussi ma première vidéo virale, alors dépêche-toi de la partager veux-tu !
La semaine dernière j’ai cru deviné que tu n’étais pas insensible à la poésie et à la nostalgie, c’est pourquoi je propose aujourd’hui à tes oreilles et tes yeux, ce chef-d’oeuvre de délicatesse versifié, LE ZIZI TOUT GONFLÉ :
Cette chanson, cinquième épisode de ma série youtube UN SON PAR SEMAINE est une sorte d’hommage à Patrick Sébastien et à toutes mes belles années de baluchard de quand j’étais jeune. Je m’y suis amusé à reprendre exactement la structure de la chanson “Les Sardines”, que je trouve marrante, festive et très populaire.
J’ai eu la chance d’avoir un peu de soutien pour le clip, par l’envoie de vidéo par la famille et des amis, vidéos dans lesquelles chacun à laissé parler sa créativité chorégraphique, sans aucune indication de la part du talentueux directeur artistique du projet, c’est à dire moi.
Le résultat est foufou et très amusant, je trouve, enfin, je t’en laisse juge !
Cette semaine je vous propose une nouvelle chanson : “ADIEU”, épisode 4 de ma série “Un Son par Semaine”.
Pour changer, un peu, il s’agit d’une chanson triste, car en vérité, c’est ce que je préfère, les chansons tristes !
Celle-ci parle du temps qui passe, de la nostalgie, de la famille aussi un peu.
Dans une recherche de simplicité et de sincérité, j’ai choisi de d’interpréter cette chanson en live, au piano (un peu désaccordé parce-qu’avec le confinement, pas moyen de faire venir un accordeur) même si je dois avouer être un piètre pianiste.
Cette nouvelle chanson, “Cheval Poney”, n’en est pas vraiment une en vérité !
Coté musique, elle s’inspire de la musique trap, coté paroles, elle s’inspire de ma connerie, et des délires qu’on se tape avec mon fils.
Le rap du milieu reprend mon ancienne chanson “Le Cheval était bien monté ” :
– https://www.youtube.com/watch?v=QeBr8hflCvk
de mon premier album, “Au Palais des Incongrus” :
– https://yochansons.fr/albums/palaisdesincongrus-chanteuryo/
Cheval Poney est l’épisode 3 de ma série youtube “Un son par Semaine” sur ma chaine Youtube, une nouvelle chanson par semaine, tous les jeudis.
Si tu as raté les épisodes précédents, c’est par là !
Un Son par Semaine
Mais, qu’est-ce qui ballotte alors, c’est tes seins, c’est ça !
Et oui, ce sont bien tes seins qui ballottent, c’est incroyable !
Mais tu es qui toi, dont les seins ballottent ?
Ils sont donc à qui ces seins qui ballottent ?
Et bien, nul ne sait, nul ne sait… et finalement, on s’en fout, on sait que des seins ballottent, dans l’absolu, quelque part, à un moment, et c’est déjà bien, non ?
Cette nouvelle chanson quelque peu “Gainsbourienne” est l’épisode 2 de ma série youtube “Un son par Semaine” sur ma chaine Youtube
https://www.youtube.com/c/YoChansons
c’est la vie du monde entier, dans cette nouvelle période pandémique sa mère trop cheloue !
Et du coup bien entendu, ça m’a inspiré cette petite chanson : “CONFINE”
Cette vidéo youtube est la première de ma nouvelle série :”Un son par Semaine”,
sur ma chaine Youtube https://www.youtube.com/c/YoChansons
Funky Party Farty : voilà qui dans la langue de Shakespeare résume bien l’esprit de mon nouveau clip, FLATE YOU LENCE, dont le texte justement est moitié en anglais, moitié en français.
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